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18 mai 2017
Assemblée nationale française
Ancien chef d'état-major adjoint des FAR, "Forces Armées Rwandaises" dans la région de Cambrai à Escaudoeuvres.
Le Rwanda demande son extradition.
Page spéciale CEC
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dossier CEC
Jean-Pierre Chrétien - LDH Toulon
EC 8 avril 2014
Affaire, symbolisée par la disparition de Maurice Audin, reconnue officiellement par le Président de la République Emmanuel Macron. Cette affaire illustre la corruption criminelle exponentielle dont sont capables l'Etat français et son armée,
Une affaire qui illustre les "erreurs d’appréciations" dont sont capables les services d’enquête français et la crédulité des responsables face aux informations qu’ils leur présentent… Si en plus, comme dans le cas de l’implication française dans le génocide des Tutsi au Rwanda, ce sont ceux qui sont mis en cause qui fournissent les informations… C’est un gouffre de dérives assuré.
RTRBF - 7 avril 2018
Dites toujours le "PRESUME génocidaire" ou "PRESUME financier du génocide", ou "est accusé de" ou pour des Français "PRESUME complice dans le génocide des Tutsi" tant que la personne n'a pas été condamnée en France ou devant le TPIR.
Sinon la justice française selon la loi sur la presse, interprétée habituellement de façon très abusive même si les faits sont historiquement établis, vous condamnera. Il suffit d'une plainte. Ces gens là ont la gâchette juridique facile.
De plus tenez compte du fait qu'il y a dans l'appareil d’état français des réseaux minoritaires très négationnistes et très actifs qui favoriseront et accentueront votre condamnation. Ils bénéficient en outre comme membres de l'appareil d'Etat, d'un régime de protection particulier, qui accentue encore leur protection, abusive et scandaleuse dans le contexte des analyses des responsabilités dans le génocide des Tutsi.
Quand on dit appareil d'Etat il faut comprendre, éducation nationale, armée, gendarmerie, justice et probablement police, même si je ne me souviens d'aucun élément de négationnisme du génocide des Tutsi concernant la police française.
Quand on dit la justice, il faut bien comprendre que ces réseaux sont parfois virulents et efficaces parmi les magistrats, de la parisienne cour de cassation aux tribunaux de province. Même quand on signale des faits documentés qui posent question, même exclusivement à un procureur, il peut basculer et, malgré un non-lieu initial, demander votre condamnation pour diffamation, tant ces réseaux sont virulents. Tous ces fonctionnaires qui sont soumis à ces réseaux négationnistes, souvent malgré eux, n'en ont pas nécessairement conscience. Le Rwanda c'est loin et on fait tout pour qu'ils ne s'y intéressent pas plus. On peut même signaler des situations de conflit d'intérêt qui ne semblent troubler personne.
N'oublions pas non plus les églises dans lesquelles ces réseaux peuvent avoir une influence transversale. La plupart des "présumés génocidaires" résidant en France sont très bien accueillis dans les églises. C'est la stupéfaction quand ils sont mis en examen.
Ne pas oublier non plus l'influence de ces réseaux dans les médias.
Donc protégez-vous contre les abus de la loi sur la presse. Soyez prudents. C'est malheureusement la situation de l'appareil d'état français pour ce que nous en connaissons concernant la question de l'implication de la France dans le génocide des Tutsi ou d'autres affaires d’État qui traînent en longueur.
E.C.
Depuis son origine ce site est tenu de façon entièrement bénévole par Emmanuel Cattier, à la demande initiale de la CEC. Les articles sont présentés et commentés pendant ses temps libres. Une fois fait, ce travail est aussitôt publié et peut être modifiés les jours suivants, notamment quand E.C. se relit encore ou que des membres du réseau de la CEC lui suggèrent des modifications souhaitables. C'est la conséquence d'une activité non professionnelle, qui permet de répondre assez vite à l'actualité en acceptant que des erreurs soient réparées le plus vite possible. Vous pouvez bien sûr faire des suggestions sur notre page contact.
Afrikarabia - 30 septembre 2020
Libération - 30 septembre 2020
Le Point - 30 septembre 2020
La France, les USA, la Russie, la Chine, la Grande Bretagne laissent-ils juger leurs suspects par un mécanisme de l'ONU ? Évidemment non. Dans ces conditions pourquoi le Rwanda ne serait pas compétent pour juger un suspect de génocide des Tutsi ?
Seul le rapport de force international et la corruption des états justifient ce traitement particulier. Les discours judiciaires et juridiques à ce sujet sont grotesques et marqués en rouge par des conflits d'intérêts.
E.C.
Afrikarabia - 25 septembre 2020
RFI - 17 septembre 2020
Question qui brûle les lèvres avec une certaine ironie tellement le négationnisme français est virulent quant à l'implication française au Rwanda : cette équipe de gendarmerie française s'intéresse-t-elle aux complices français dans le génocide des Tutsi ? S'intéresse-t-elle aux auteurs de l'attentat contre Habyarimana, "déclencheur du génocide" selon les autorités françaises ? S'intéresse-t-elle aux auteurs de l'assassinat des deux gendarmes Didot et Maier et de l'épouse de Didot, à Kigali au Rwanda juste après l’attentat, s'intéresse-t-elle à la mort de François de Grossouvre à l'Elysée le lendemain de l'attentat, qualifiée de "suicide" ? A-t-on la preuve que ces assassinats sont sans relation avec le génocide des Tutsi et le soutien français au régime "hutu-power".
Ibuka - 15 septembre 2020
CEC - 22 mars 2004
Ce témoignage fut entendu et enregistré devant la CEC le 22 mars 2004. Il eut quelques échos dans un petit nombre de médias le jour même. Témoignage qu'il serait bon de réentendre alors que les négationnistes de l'implication française dans le génocide des Tutsi vont redoubler de mensonges, probablement pour tenter d'influencer la commission Duclert qui doit sortir ses conclusions en avril 2021, soit 17 ans après celles de notre commission que nous avions présentées comme provisoires.
EC - 5 septembre 2020
Jeune Afrique - 3 septembre 2020
AFP/Mediapart - 2 septembre 2020
Le Figaro - 2 septembre 2020
Jeune Afrique - 1 septembre 2020
L’imbécillité "actuelle" est sans valeurs. Qui lit "valeurs actuelles" pour que de telles conneries racistes soient jugées pertinentes par le rédacteur en chef ? C'est de la haine sur papier glacé.
Libération - 31 août 2020
Pour ma part, j’avais vu le film en compagnie de deux rwandaises qui s'étaient réfugiées à l’Hôtel des mille collines. Elles n'avaient pas trouvé le film authentique.
Une histoire qui montre que le show-business est d'une grande superficialité sur la question du génocide des Tutsi. Les conflits entre la BBC et Kigali en sont un autre exemple, à cause d'un documentaire négationniste.
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La formation de la gendarmerie rwandaise par la France à partir de l'accord de coopération de 1975 (effective semble-t-il à partir de 1983 par la "mise sur pied" annoncée d'un "groupement de gendarmerie" selon une note d'un conseiller de Mitterrand de 1982) n'a absolument rien changé. Non seulement les assassinats ponctuels et massacres de Tutsi demeurèrent impunis de 1959 à 1994, mais la gendarmerie et l'armée rwandaises furent les deux bras armés du génocide, avec des armes livrées par la France avant, pendant et même après le génocide. L'ambassadeur de France parlait de "rumeurs" à propos des massacres de Tutsi exécutés entre 1990 et 1993. Hubert Védrine essaya de faire croire en 2014 aux députés français (très crédules) que les armes livrées par la France n'auraient pas servi au génocide des Tutsi.
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