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et jours suivants - 2020-Ed122 :
Arrestation de Félicien Kabuga - RDC - négationnisme Augustin Bizimana - Eugène Rwamucyo - CEDH -
Belgique justice - Suisse- Siméon Karamaga - Bisesero
Capitaine Mbaye Diagne - CNLG - idéologie génocidaire
18 mai 2017
Assemblée nationale française
Ancien chef d'état-major adjoint des FAR, "Forces Armées Rwandaises" dans la région de Cambrai à Escaudoeuvres.
Le Rwanda demande son extradition.
Page spéciale CEC
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dossier CEC
Jean-Pierre Chrétien - LDH Toulon
EC 8 avril 2014
Affaire, symbolisée par la disparition de Maurice Audin, reconnue officiellement par le Président de la République Emmanuel Macron. Cette affaire illustre la corruption criminelle exponentielle dont sont capables l'Etat français et son armée,
Une affaire qui illustre les "erreurs d’appréciations" dont sont capables les services d’enquête français et la crédulité des responsables face aux informations qu’ils leur présentent… Si en plus, comme dans le cas de l’implication française dans le génocide des Tutsi au Rwanda, ce sont ceux qui sont mis en cause qui fournissent les informations… C’est un gouffre de dérives assuré.
RTRBF - 7 avril 2018
Dites toujours le "PRESUME génocidaire" ou "PRESUME financier du génocide", ou "est accusé de" ou pour des Français "PRESUME complice dans le génocide des Tutsi" tant que la personne n'a pas été condamnée en France ou devant le TPIR.
Sinon la justice française selon la loi sur la presse, interprétée habituellement de façon très abusive même si les faits sont historiquement établis, vous condamnera. Il suffit d'une plainte. Ces gens là ont la gâchette juridique facile.
De plus tenez compte du fait qu'il y a dans l'appareil d’état français des réseaux minoritaires très négationnistes et très actifs qui favoriseront et accentueront votre condamnation. Ils bénéficient en outre comme membres de l'appareil d'Etat, d'un régime de protection particulier, qui accentue encore leur protection, abusive et scandaleuse dans le contexte des analyses des responsabilités dans le génocide des Tutsi.
Quand on dit appareil d'Etat il faut comprendre, éducation nationale, armée, gendarmerie, justice et probablement police, même si je ne me souviens d'aucun élément de négationnisme du génocide des Tutsi concernant la police française.
Quand on dit la justice, il faut bien comprendre que ces réseaux sont parfois virulents et efficaces parmi les magistrats, de la parisienne cour de cassation aux tribunaux de province. Même quand on signale des faits documentés qui posent question, même exclusivement à un procureur, il peut basculer et, malgré un non-lieu initial, demander votre condamnation pour diffamation, tant ces réseaux sont virulents. Tous ces fonctionnaires qui sont soumis à ces réseaux négationnistes, souvent malgré eux, n'en ont pas nécessairement conscience. Le Rwanda c'est loin et on fait tout pour qu'ils ne s'y intéressent pas plus. On peut même signaler des situations de conflit d'intérêt qui ne semblent troubler personne.
N'oublions pas non plus les églises dans lesquelles ces réseaux peuvent avoir une influence transversale. La plupart des "présumés génocidaires" résidant en France sont très bien accueillis dans les églises. C'est la stupéfaction quand ils sont mis en examen.
Ne pas oublier non plus l'influence de ces réseaux dans les médias.
Donc protégez-vous contre les abus de la loi sur la presse. Soyez prudents. C'est malheureusement la situation de l'appareil d'état français pour ce que nous en connaissons concernant la question de l'implication de la France dans le génocide des Tutsi ou d'autres affaires d’État qui traînent en longueur.
E.C.
Depuis son origine ce site est tenu de façon entièrement bénévole par Emmanuel Cattier, à la demande initiale de la CEC. Les articles sont présentés et commentés pendant ses temps libres. Une fois fait, ce travail est aussitôt publié et peut être modifiés les jours suivants, notamment quand E.C. se relit encore ou que des membres du réseau de la CEC lui suggèrent des modifications souhaitables. C'est la conséquence d'une activité non professionnelle, qui permet de répondre assez vite à l'actualité en acceptant que des erreurs soient réparées le plus vite possible. Vous pouvez bien sûr faire des suggestions sur notre page contact.
Jeune Afrique - 30 juin 2020
AFP/Mediapart - 30 juin 2020
Afrikarabia - 28 juin 2020
Club de Mediapart / France culture - 28 juin 2020
Survie - 26 juin 2020
Excellent article démontrant la bêtise désolante des "péaneries" de Judi Rever. Cette jeune journaliste est très défendue, voire protégée, par Hubert Védrine, si on en juge par ses propos au colloque qu'il a inspiré dans l'enceinte du Sénat français.
Pour qu'Hubert Védrine en vienne à soutenir des personnes qui tiennent de telles thèses aussi grotesquement "sourcées", il faut qu'il se sente acculé sur la question de l'implication des autorités françaises de l'époque dans le génocide des Tutsi.
Mais comment cette jeune femme en est-elle arrivée là ? Pourquoi s'est-elle intéressée au Rwanda pour en sortir de telles sornettes ? Est-elle directement influencée par ce qui reste des autorités françaises de l’époque, qui préféreraient faire endosser par une canadienne assez crédule et passionnée des bêtises qu'ils n'osent pas dire eux-même ? Quels sont les ressorts qui pourraient avoir été utilisés pour que tels propos soient déversés au grand bonheur de la mouvance de la négation du génocide des Tutsi ?
Tout cela est bien déraisonnable et pitoyable.
E.C.
A ce jour 23 juin 2020 on ne constate aucune allusion à l'arrestation de Félicien Kabuga sur le site Jambo news, pourtant toujours alerte à la moindre information plus ou moins vérifiée qui concerne le Rwanda.
Ce site est réalisé par de jeunes Rwandais, dont semble-t-il des enfants, et leurs amis, de dignitaires de l'ancien régime qui s'est dissous dans l'accomplissement du génocide des Tutsi. Ils ont hérité de fait d'un lourd fardeau moral qui ne les conduit pas toujours à beaucoup de lucidité.
Ils voudraient atténuer les fautes de la classe politique responsable de ce génocide, aggraver, pour compenser, les erreurs du FPR et de la conduite politique actuelle du Rwanda et tenter de dépasser l'ethnisme hérité de la colonisation, avec 25 ans de retard sur le régime actuel de Kigali et notamment la constitution rwandaise de 2003, bien inspirée, qui pénalise les recours aux "ethnies" comme marqueur social et politique, "ethnies" qui n'en sont d'ailleurs pas.
Ils ressentent très mal les commémorations du génocide des Tutsi, qu'ils considèrent comme une survivance de l'ethnisme au profit des Tutsi. C'est un peu comme si condamner l'antisémitisme serait considéré comme une volonté d'établir une domination juive. Bref ils semblent mal dans leur peau à cause de leur héritage.
Ce silence sur l'arrestation de Félicien Kabuga en France est lourd de signification. Il apparaît donc comme une signature tabou qui pourrait bien manquer à ces "informés".
E.C.
Le Monde - 22 juin 2020
#MAJUSCULEPROPOS - 21 juin 2020
L'observatoire du conspirationnisme - 18 juin 2020
TV5 Monde - 16 juin 2020
Libération - 14 juin 2020
Survie - 12 juin 2020
France Inter - 12 juin 2020
Félicitation à François Graner pour sa persévérance judiciaire !
Pour une fois la Justice déconfire une partie de la vérité ! Il reste donc des juges qui prennent des risques pour que la vérité soit connue.
Il reste à déconfiner les archives de l'armée, la soi-disant "grande muette", très bavarde sur le Rwanda et trop souvent grande menteuse, et grande manipulatrice par porte-voix anonymes et infiltrés. Il faudra ensuite croiser tout cela avec les archives du Rwanda, de l'ONU, de la Belgique et d'autres pays. Jacques Morel a déjà rassemblé et fait avancer une partie de ce travail de recoupement qui est fait en France avec une partie de ces archives. D'autres auteurs ont apporté leurs pierres.
Espérons que les pièces les plus sensibles auront été respectées par Dominique Bertinotti et Hubert Védrine qui avaient la haute main sur ces archives de François Mitterrand.
En tous cas cela dénote une forte évolution au sein de l'appareil d’État, et de l'espoir pour d'autres affaires.
E.C. 13 juin 2020
France culture - 10 juin 2020
La Croix - 8 juin 2020
Fondation Panzi - 12 juin 2020
AFP/RTL - 15 juin 2020
Emmanuel Cattier/Club de Mediapart - 6 juin 2020
Survie - 5 juin 2020
La Croix - 5 juin 2020
La ibre Belgique - 5 juin 2020
CPCR - 3 juin 2020
Articles de Jean-françois Dupaquier à lire absolument pour quiconque veut comprendre ce qui se passe entre le Rwanda et la RDC.et dans certaines têtes conspiratrices en Occident
Afrikarabia - 4 avril 2020
Afrikarabia - 10 avril 2020
Afrikarabia - 12 avril 2020
Afrikarabia - 12 avril 2020
Afrikarabia - 22 avril 2020
Afrikarabia - 26 avril 2020
Afrikarabia - 4 mai 2020
Afrikarabia - 9 mai 2020
Afrikarabia - 13 mai 2020
Afrikarabia - 24 mai 2020
Afrikarabia - 28 juin 2020
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La formation de la gendarmerie rwandaise par la France à partir de l'accord de coopération de 1975 (effective semble-t-il à partir de 1983 par la "mise sur pied" annoncée d'un "groupement de gendarmerie" selon une note d'un conseiller de Mitterrand de 1982) n'a absolument rien changé. Non seulement les assassinats ponctuels et massacres de Tutsi demeurèrent impunis de 1959 à 1994, mais la gendarmerie et l'armée rwandaises furent les deux bras armés du génocide, avec des armes livrées par la France avant, pendant et même après le génocide. L'ambassadeur de France parlait de "rumeurs" à propos des massacres de Tutsi exécutés entre 1990 et 1993. Hubert Védrine essaya de faire croire en 2014 aux députés français (très crédules) que les armes livrées par la France n'auraient pas servi au génocide des Tutsi.
Recherche dans quelques sites d'informations