FDLR - Stèle de Strasbourg - Commission Duclert
Claude MUHAYIMANA - Twagiaramungu - Trévidic
Procès attentat 6 avril 1994 - Larousse - RDC
Charlie Hebdo - viols de rwandaises Tutsi - armée
Ancien chef d'état-major adjoint des FAR, "Forces Armées Rwandaises" dans la région de Cambrai à Escaudoeuvres.
Le Rwanda demande son extradition.
Page spéciale CEC
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dossier CEC
Jean-Pierre Chrétien - LDH Toulon
EC 8 avril 2014
Affaire, symbolisée par la disparition de Maurice Audin, reconnue officiellement par le Président de la République Emmanuel Macron. Cette affaire illustre la corruption criminelle exponentielle dont sont capables l'Etat français et son armée,
Une affaire qui illustre les "erreurs d’appréciations" dont sont capables les services d’enquête français et la crédulité des responsables face aux informations qu’ils leur présentent… Si en plus, comme dans le cas de l’implication française dans le génocide des Tutsi au Rwanda, ce sont ceux qui sont mis en cause qui fournissent les informations… C’est un gouffre de dérives assuré.
RTRBF - 7 avril 2018
Depuis son origine ce site est tenu par Emmanuel Cattier, de façon entièrement bénévole à la demande initiale de la CEC. Les articles sont présentés et commentés pendant ses temps libres. Une fois fait, ce travail est aussitôt publié et peut être modifiés les jours suivants, notamment quand E.C. se relit encore ou que des membres du réseau de la CEC lui suggèrent des modifications souhaitables. C'est la conséquence d'une activité non professionnelle, qui permet de répondre assez vite à l'actualité en acceptant que des erreurs soient réparées le plus vite possible. Vous pouvez bien sûr faire des suggestions sur notre page contact.
Jeune Afrique - 26 février 2020
Cet article montre le caractère scandaleux du panel douteux autorisé à se produire au sénat français.
Il montre aussi qu'il est de plus en plus évident que des personnes mal intentionnées cherchent à utiliser malgré lui la réputation du Docteur Mukwege comme porte drapeau de leurs causes détournées. S'ils sont confirmés, la Présidence du Sénat ne peut pas couvrir de tels agissements. C'est inacceptable pour les citoyens français.
Enfin il se confirme qu'Hubert Védrine, ayant perdu le bras armé de sa désinformation franco-rwandaise en la personne de Pierre Péan, décédé cet été, cherche depuis plusieurs mois à le faire remplacer par Charles Onana et Judi Rever. Il apparaît donc que ce glauque "colloque" se serve du Sénat pour donner un vernis honorable à de nouveaux défenseurs de la politique de Mitterrand au Rwanda.Il s'agit de charger la barque anti-tutsi pour tenter de dresser un paravent médiatique contre le travail de la commission Duclert.
Je considère pour ma part que la politique de Mitterrand au Rwanda fut criminelle en engageant la France dans la complicité dans le génocide des Tutsi, avec le concours actifs et désinformateur de l’état-major français, et in fine du gouvernement de cohabitation dont on ne sait s'il fut plus naïf que complice en prenant le train en marche. Les mondes de l'incompétence !
Quelque part les Français ont exprimé par leur vote que ces pratiques et mensonges sont déshonorants pour les citoyens français. Les forces politiques porteuses de ce négationnisme de l'implication de la France dans le génocide des Tutsi au Rwanda ont été balayées en 2017.
Emmanuel Cattier 27 février 2020
Allo Ciné - février 2020
film (1 h 51) réalisé par Eric Barbier avec Jean-Paul Rouve, Djibril Vancoppenolle est diffusé en avant-première au Cinéma Opéraims à Reims le
vendredi 13 mars 2020 à 20 h en présence de Gaël Faye.
Paru en 2016 chez Grasset, traduit dans plus de 35 langues, Petit pays, premier roman de Gaël Faye, récompensé par de nombreux prix littéraires dont
le Prix Goncourt des Lycéens, et après avoir été adapté en bande dessinée, sort le 18 mars 2020 dans les salles de cinéma.
Dans les années 1990, un petit garçon vit au Burundi avec son père, un entrepreneur français, sa mère rwandaise et sa petite sœur. Il passe son
temps à faire les quatre cents coups avec ses copains de classe jusqu’à ce que la guerre civile éclate mettant une fin à l’innocence de son enfance.
Gaël Faye : « il y a une scène qui est très violente pour moi, vraiment ultra violente. Mais elle correspond à la réalité... Elle se passe le
7 avril 1994, c’est-à-dire le jour où commence le génocide au Rwanda mais nous sommes au Burundi. Alors qu’ils sont séparés, la mère de Gabriel
retrouve le père dans leur maison : elle vient d’apprendre que l’avion du président rwandais Habyarimana a été abattu et elle n’arrive pas à joindre
sa tante Eusébie à Kigali. Le père tente d’aider sa femme mais impossible d’avoir des informations. Le soir Eusébie appelle enfin, mais c’est pour
dire que dans la ville, à Kigali, les milices et la garde républicaine massacrent tous les Tutsi. Nous sommes dans le point de vue de Gabriel et
qu’est-ce qu’il comprend ? Pas grand-chose… Il voit surtout que sa mère est revenue à la maison et que son père l’aide. Il voit qu’elle est triste
mais bon, elle est là. Le lendemain matin, Gaby se lève et découvre que ses parents ont couché ensemble dans le même lit. Il est heureux, il
se dit que sa mère va rester, que la famille va se recomposer. Quand Ana apprend la nouvelle, elle part avec son frère danser dans le jardin. Ils
sont heureux : papa et maman s’aiment encore ! Tout ça se passe le 8 avril. Mais quand on est Rwandais aujourd’hui, je veux dire 25 ans plus
tard, tu sais que le 8 avril c’est le deuxième jour du génocide. Le 8 avril, on ne danse pas. Ce n’est pas possible qu’on soit joyeux. Et
pourtant… Je suis retourné dans mes propres albums de famille et je le vois bien : on était aussi joyeux pendant cette époque alors que le génocide
battait son plein et qu’on était en train de perdre les nôtres. On ne savait pas. Plus exactement, on ne se rendait pas compte de la proportion
qu’avaient pris les événements. Il y avait eu des massacres, c’était déjà arrivé. Mais un génocide… ».
Contact : Alain Gauthier - CPCR - Réservation : collectifrwanda@aol.com
Thot Cursus - 20 février 2020
CPCR - 21 février 2020
TV5 Monde - 20 février 2020
Interview de François Graner, sur le livre L'Etat français et le génocide des Tutsi au Rwanda - Cf ci-dessous
AFP/Mediapart - 13 février 2020
Jeune Afrique - 8 février 2020
E.C. sur son blog Mediapart - 9 février 2020
R.Doridant et F.Graner - Survie - 6 février 2020
Jeune Afrique - 12 février 2020
Ouest-France - 8 février 2020
RFI - 5 février 2020
Sortie du film le 5 février dans les salles de cinéma
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La formation de la gendarmerie rwandaise par la France à partir de l'accord de coopération de 1975 (effective semble-t-il à partir de 1983 par la "mise sur pied" annoncée d'un "groupement de gendarmerie" selon une note d'un conseiller de Mitterrand de 1982) n'a absolument rien changé. Non seulement les assassinats ponctuels et massacres de Tutsi demeurèrent impunis de 1959 à 1994, mais la gendarmerie et l'armée rwandaises furent les deux bras armés du génocide, avec des armes livrées par la France avant, pendant et même après le génocide. L'ambassadeur de France parlait de "rumeurs" à propos des massacres de Tutsi exécutés entre 1990 et 1993. Hubert Védrine essaya de faire croire en 2014 aux députés français (très crédules) que les armes livrées par la France n'auraient pas servi au génocide des Tutsi.