Bagosora - Eglise catholique - histoire coloniale belge -
André Versailles - éthnisme - ethnicité - Attentat de 1994 - Paris-Kigali
Ancien chef d'état-major adjoint des FAR, "Forces Armées Rwandaises" dans la région de Cambrai à Escaudoeuvres.
Le Rwanda demande son extradition.
Page spéciale CEC
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dossier CEC
Jean-Pierre Chrétien - LDH Toulon
EC 8 avril 2014
Affaire, symbolisée par la disparition de Maurice Audin, reconnue officiellement par le Président de la République Emmanuel Macron. Cette affaire illustre la corruption criminelle exponentielle dont sont capables l'Etat français et son armée,
Une affaire qui illustre les "erreurs d’appréciations" dont sont capables les services d’enquête français et la crédulité des responsables face aux informations qu’ils leur présentent… Si en plus, comme dans le cas de l’implication française dans le génocide des Tutsi au Rwanda, ce sont ceux qui sont mis en cause qui fournissent les informations… C’est un gouffre de dérives assuré.
RTRBF - 7 avril 2018
Depuis son origine ce site est tenu par Emmanuel Cattier, de façon entièrement bénévole à la demande initiale de la CEC. Les articles sont présentés et commentés pendant ses temps libres. Une fois fait, ce travail est aussitôt publié et peut être modifiés les jours suivants, notamment quand E.C. se relit encore ou que des membres du réseau de la CEC lui suggèrent des modifications souhaitables. C'est la conséquence d'une activité non professionnelle, qui permet de répondre assez vite à l'actualité en acceptant que des erreurs soient réparées le plus vite possible. Vous pouvez bien sûr faire des suggestions sur notre page contact.
CPCR - 30 octobre 2019
Nous partageons complètement le communiqué du CPCR. Il est clair qu'une partie de la France ne veut rien savoir. Selon la justice rwandaise il a été condamné à perpétuité. La Justice française se moque de la justice rwandaise. Quand on voit ce qui se passe dans certtains tribunaux, il n'y a pas de quoi pavoiser.
RFI - 27 octobre 2019
Si ces informations sont confirmées ce sera la preuve du comportement absurde d'une partie de l'opposition rwandaise.et du rôle plus qu'ambigu de Faustin Twagiramungu, dont on disait qu'il était pressenti pour devenir premier ministre du gouvernement à base élargie, et de Paul Rusesabagina, le fameux "héros" de l’hôtel des milles collines, dont je me suis toujours demandé quelles étaient leurs relations avec certains français. Quand on sait que la France a soutenu ces mouvements qui voulaient reconquérir le Rwanda à partir du Zaïre/RDC après 1994, il y a de quoi se poser quelques questions.
Échange de courrier publié le 25 octobre 2019
On ne peut que constater aussi que la géométrie est la même à la cour d'Appel de Nîmes.
CPCR - 17 octobre 2019
RFI - 20 octobre 2019
C'est le moins que l'on puisse dire. Un tel retard est outrancier et montre le manque de bonne volonté de l'Etat français pour reconnaître les culpabilités dans le génocide des Tutsi. Cela ressemble à une si grande complaisance, qu'elle devient de la complicité, heureusement parfois corrigée par les juges.
Actu Daily- 16 octobre 2019
La Croix - 10 octobre 2019
TV5 Monde - 17 octobre 2019
La Croix - 18 octobre 2019
Emmanuel Cattier / blog du Club de Médiapart - 18 octobre 2019
La Libre Belgique - 10 octobre 2019
Le Soir - 10 octobre 2019
Rwanda news/Jeune Afrique - 8 octobre 2019 / 1 avril 2019
Cet interview diffusé par Rwanda news est en fait un interview conduit par François Soudan pour Jeune Afrique publié le 1 avril 2019. Plusieurs aspects des relations entre la France et le Rwanda sont abordés dans cet interview du président Paul Kagame, dont celui-ci :
Question : "Il y a aussi le cas du colonel Serubuga, qui vit en France, et celui d’Agathe Habyarimana, la veuve de l’ancien
président,
qui est installée en région parisienne. Ni expulsable ni régularisable,
elle est dans une sorte de vide juridique. Pensez-vous obtenir un jour
son extradition ?
Réponse : Je l’ignore. Mais même si notre demande n’est pas, pour une raison ou
pour une autre, considérée, pourquoi cette femme n’a-t-elle jamais été
inquiétée par le TPIR ou par la justice française ? Pourquoi n’a-t-elle
jamais fait l’objet d’une enquête dans le pays où elle s’est réfugiée ?
Les faits parlent d’eux-mêmes…"
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La formation de la gendarmerie rwandaise par la France à partir de l'accord de coopération de 1975 (effective semble-t-il à partir de 1983 par la "mise sur pied" annoncée d'un "groupement de gendarmerie" selon une note d'un conseiller de Mitterrand de 1982) n'a absolument rien changé. Non seulement les assassinats ponctuels et massacres de Tutsi demeurèrent impunis de 1959 à 1994, mais la gendarmerie et l'armée rwandaises furent les deux bras armés du génocide, avec des armes livrées par la France avant, pendant et même après le génocide. L'ambassadeur de France parlait de "rumeurs" à propos des massacres de Tutsi exécutés entre 1990 et 1993. Hubert Védrine essaya de faire croire en 2014 aux députés français (très crédules) que les armes livrées par la France n'auraient pas servi au génocide des Tutsi.