Jean-Michel Jacques - Bisesero - Opération Turquoise - FDLR - ONU - Déni français et onusien - IRIS -
Anne HIdalgo - Roland Ries - Black earth rising
18 mai 2017
Assemblée nationale française
Ancien chef d'état-major adjoint des FAR, "Forces Armées Rwandaises" dans la région de Cambrai à Escaudoeuvres.
Le Rwanda demande son extradition.
Page spéciale CEC
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dossier CEC
Jean-Pierre Chrétien - LDH Toulon
EC 8 avril 2014
Affaire, symbolisée par la disparition de Maurice Audin, reconnue officiellement par le Président de la République Emmanuel Macron. Cette affaire illustre la corruption criminelle exponentielle dont sont capables l'Etat français et son armée,
Une affaire qui illustre les "erreurs d’appréciations" dont sont capables les services d’enquête français et la crédulité des responsables face aux informations qu’ils leur présentent… Si en plus, comme dans le cas de l’implication française dans le génocide des Tutsi au Rwanda, ce sont ceux qui sont mis en cause qui fournissent les informations… C’est un gouffre de dérives assuré.
RTRBF - 7 avril 2018
Depuis son origine ce site est tenu par Emmanuel Cattier, de façon entièrement bénévole à la demande initiale de la CEC. Les articles sont présentés et commentés pendant ses temps libres. Une fois fait, ce travail est aussitôt publié et peut être modifiés les jours suivants, notamment quand E.C. se relit encore ou que des membres du réseau de la CEC lui suggèrent des modifications souhaitables. C'est la conséquence d'une activité non professionnelle, qui permet de répondre assez vite à l'actualité en acceptant que des erreurs soient réparées le plus vite possible. Vous pouvez bien sûr faire des suggestions sur notre page contact.
ActuDaily - 7 Août 2019
EC Blog de Médiapart - 27 juillet 2019
Elysée - 26 juillet 2019
Ce communiqué officiel cousu de fil blanc suggère, comme pour le journaliste Jean Hélène, la place particulière qu'avait Pierre Péan dans le dispositif de communication de l'Etat français :
"Mais jamais Pierre Péan ne cherchait à s’ériger en procureur, encore moins en moraliste. Il lui
importait trop de restituer toute la complexité des êtres et des situations. Sa boussole, c’était la vérité des faits. Son cap, la vérité tout
court.
Farouchement libre et indépendant, rétif aux sujets en vogue et aux modes médiatiques, il n’avait jamais peur de soulever les couvercles qui
recouvrent parfois les événements du passé, la marche des Etats et la vie des puissants. Mais il avait aussi le respect du secret défense et savait
que la transparence absolue pouvait devenir une tyrannie."
Il nous faut donc comprendre que les saloperies infondées qu'il déversa sur les rescapés du génocide des Tutsi, sur l'association Survie et ses responsables et notre Commission d'enquête citoyenne, sont pour l'Elysée la "vérité des faits".
"Libre et indépendant", mais ayant "le respect du secret défense"....tout est dit dans une nullité contradictoire éclatante qui se veut moraliste.
L’Élysée se ridiculise bêtement ainsi. Emmanuel Macron ne domine pas encore l'appareil d'Etat ou il continue un double jeu lamentable.
E.C. 27 juillet 2019
Rwanda news Agency - 27 juillet 2019
Xinhua - 25 juillet 2019
Libération - 19 juillet 2019
Un article qui rappelle certaine informations mais lève beaucoup plus de questions. François de Grossouvre s'est-il vraiment suicidé ? Y-a-t-il un lien entre sa mort le 7 avril 1994 et l'attentat la veille contre l'avion du président du Rwanda le 6 avril 1994 ? Selon Collette Braeckman, journaliste spécialiste de l'Afrique des grands lacs du journal belge Le Soir, il se serait exclamé ce jours là au téléphone (de mémoire) "les cons ils n'ont pas fait cela". Colette Braeckman a évoqué François de Grossouvre dans une quinzaine d'articles : Le carnet de Colette Braeckman.
Paul Barril affirme dans un rush du film de Raphaël Glûcksmann (voir le film ci-dessous) que François de Grossouvre était son intermédiaire sur la question du Rwanda entre Mitterrand et lui. Il dit aussi que François de Grossouvre a été assassiné. L’auteur de Tuez-les tous a dit un jour qu'il n'a pas publié ce rush de Barril, car ce que dit Barril n'est jamais sûr.
Finalement l'article de Wikipédia en dit peut-être plus.
E.C. 19 juillet 2019
Jeune Afrique - 16 juillet 2019
... Et toujours pas d'ambassadeur de France au Rwanda ...
Institut François Mitterrand - 12 juillet 2019
Ce serait un titre à suggérer au journal français d'humour politique, Le Canard enchaîné : Hubert Védrine reconstitue un "M23", en souvenir du groupe congolais ainsi dénommé et accusé, entre autres, par les amis d'Hubert Védrine d'être manipulé par le Rwanda, et dont il avait tant besoin pour tenter de démontrer que le FPR serait plus criminel que les génocidaires du régime Hutu power soutenu par la France.
Hubert Védrine sent le vent tourner. Il a mobilisé d'anciens éléphants du PS dans ce M23 cocorico de 23 anciens ministres PS pour essayer de contrer l'influence de Raphaël Glûcksmann.
Cette histoire montre clairement l'incohérence des dirigeants socialistes sur le Rwanda. Les positions de Raphaël Glücksmann sur le Rwanda sont connues depuis 2004, date de sortie du film Tuez les Tous qu'il a co-réalisé et visible ci-dessous. Ils l'ont accepté comme tête de liste aux dernières européennes !!! Peut-être espéraient-ils le phagocyter ?
Regardez bien ce film avant d'aller signer ce "chiffon de papier" du "M23" cocorico. "Chiffon de papier" est l'expression utilisée par Habyarimana pour désigner les premiers accords d'Arusha ... soi-disant "soutenus par la France" et dont les autorités françaises n'ont pas respecté plusieurs articles du premier accord).
E.C. 16 juillet 2019
Le Soir - 1 juillet 2019
La formation de la gendarmerie rwandaise par la France à partir de l'accord de coopération de 1975 (effective semble-t-il à partir de 1983 par la "mise sur pied" annoncée d'un "groupement de gendarmerie" selon une note d'un conseiller de Mitterrand de 1982) n'a absolument rien changé. Non seulement les assassinats ponctuels et massacres de Tutsi demeurèrent impunis de 1959 à 1994, mais la gendarmerie et l'armée rwandaises furent les deux bras armés du génocide, avec des armes livrées par la France avant, pendant et même après le génocide. L'ambassadeur de France parlait de "rumeurs" à propos des massacres de Tutsi exécutés entre 1990 et 1993. Hubert Védrine essaya de faire croire en 2014 aux députés français (très crédules) que les armes livrées par la France n'auraient pas servi au génocide des Tutsi.