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MUHAYIMANA
18 mai 2017
Assemblée nationale française
Ancien chef d'état-major adjoint des FAR, "Forces Armées Rwandaises" dans la région de Cambrai à Escaudoeuvres.
Le Rwanda demande son extradition.
Page spéciale CEC
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dossier CEC
Jean-Pierre Chrétien - LDH Toulon
EC 8 avril 2014
Affaire, symbolisée par la disparition de Maurice Audin, reconnue officiellement par le Président de la République Emmanuel Macron. Cette affaire illustre la corruption criminelle exponentielle dont sont capables l'Etat français et son armée,
Une affaire qui illustre les "erreurs d’appréciations" dont sont capables les services d’enquête français et la crédulité des responsables face aux informations qu’ils leur présentent… Si en plus, comme dans le cas de l’implication française dans le génocide des Tutsi au Rwanda, ce sont ceux qui sont mis en cause qui fournissent les informations… C’est un gouffre de dérives assuré.
RTRBF - 7 avril 2018
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Valeurs actuelles - 26 mai 2019
La Marche de l'Histoire France Inter - 24 mai 2019
Le Populaire du centre - 24 mai 2019
Le Populaire du centre s'est amélioré sur le Rwanda depuis un article du 30 novembre 1996 qui passait purement et simplement sous
silence le génocide des Tutsi dans un "décryptage du conflit rwandais" selon le titre. Il s'agissait de l'interview d'un gendarme français qui avait
été envoyé en coopération au Rwanda dans la période préparatoire du génocide de 1990 à 1993. Décrypter le conflit rwandais sans parler du génocide
c'est le summum de la réécriture de l'histoire. De plus on lit dans ces propos un net engagement anti-tutsi et pro-hutu de la part de ce gendarme,
deux ans après le génocide des Tutsi, que ce journal relatait sans sourciller !
Lire cet article
France 3 région - 23 mai 2019
Afrique ActuDaily - 20 mai 2019
L'auteur du livre Le massacre des Bagogwe - un prélude au génocide des Tutsi Rwanda (1990-1993), chez L'Harmattan, qui est un livre de témoignage sur des événements historiques, nous livre ici un récit de l'intérieur de ce que fut le génocide des Tutsi pour sa famille : La couleur du génocide.
Le journal de Saône et Loire - 18 mai 2019
Mediapart, blog E.C. - 31 mai 2019
Mediapart, blog d'E.C.- 24 mai 2019
AFP/JusticeInfo.net - 14 mai 2019
Survie - 15 mai 2019
Mediapart, blog d'E.C. - 15 mai 2019
La règle du jeu - 17 mai 2019
Mediapart - 12 mai 2019
"Les autorités françaises ont donc fait le choix manifeste de laisser les dossiers de génocidaires présumés s’engluer dans l’ordinaire des tribunaux français. Plus grave encore pour un État qui se targue de ne pas être un refuge pour les auteurs de crimes contre l’humanité : entre 1995 et 2012, la justice française ne s’est jamais saisie d’elle-même de dossiers de suspects de génocide."
Que dire des cas de présomption de complicité de responsables français dans le génocide des Tutsi. Ce n'est même pas pensé par les autorités judiciaires. On répond "diffamation" au lieu d'instruire et de vérifier les faits documentés. On se moque de notre démocratie, on la piétine allègrement. C'est de fait du négationnisme institutionnel.
E.C. 12 mai 2019
La formation de la gendarmerie rwandaise par la France à partir de l'accord de coopération de 1975 (effective semble-t-il à partir de 1983 par la "mise sur pied" annoncée d'un "groupement de gendarmerie" selon une note d'un conseiller de Mitterrand de 1982) n'a absolument rien changé. Non seulement les assassinats ponctuels et massacres de Tutsi demeurèrent impunis de 1959 à 1994, mais la gendarmerie et l'armée rwandaises furent les deux bras armés du génocide, avec des armes livrées par la France avant, pendant et même après le génocide. L'ambassadeur de France parlait de "rumeurs" à propos des massacres de Tutsi exécutés entre 1990 et 1993. Hubert Védrine essaya de faire croire en 2014 aux députés français (très crédules) que les armes livrées par la France n'auraient pas servi au génocide des Tutsi.