Emmanuel Macron - Hervé Berville - Général Varret - commémoration - Science Po - Débat Ancel-Lanxade - Turquoise - Bisesero -
Kouchner - France Culture-
Florent Piton - Philippe MANIER [HATEGEKIMANA] -
CPCR - Financement du génocide - Félicien Kabuga
18 mai 2017
Assemblée nationale française
Ancien chef d'état-major adjoint des FAR, "Forces Armées Rwandaises" dans la région de Cambrai à Escaudoeuvres.
Le Rwanda demande son extradition.
Page spéciale CEC
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dossier CEC
Jean-Pierre Chrétien - LDH Toulon
EC 8 avril 2014
Affaire, symbolisée par la disparition de Maurice Audin, reconnue officiellement par le Président de la République Emmanuel Macron. Cette affaire illustre la corruption criminelle exponentielle dont sont capables l'Etat français et son armée,
Une affaire qui illustre les "erreurs d’appréciations" dont sont capables les services d’enquête français et la crédulité des responsables face aux informations qu’ils leur présentent… Si en plus, comme dans le cas de l’implication française dans le génocide des Tutsi au Rwanda, ce sont ceux qui sont mis en cause qui fournissent les informations… C’est un gouffre de dérives assuré.
RTRBF - 7 avril 2018
Depuis son origine ce site est tenu par Emmanuel Cattier, de façon entièrement bénévole à la demande initiale de la CEC. Les articles sont présentés et commentés pendant ses temps libres. Une fois fait, ce travail est aussitôt publié et peut être modifiés les jours suivants, notamment quand E.C. se relit encore ou que des membres du réseau de la CEC lui suggèrent des modifications souhaitables. C'est la conséquence d'une activité non professionnelle, qui permet de répondre assez vite à l'actualité en acceptant que des erreurs soient réparées le plus vite possible. Vous pouvez bien sûr faire des suggestions sur notre page contact.
CRF - avril 2019
Une fois de plus Jacques Myard, s'affirme comme un des premiers de cordée du médiocre aveuglement français dénoncé au Rwanda par Nicolas Sarkozy en février 2010 et visiblement téléguidé par un lobby militaire évoqué par le général Varret dans un livre récent (Général j'en ai pris pour mon grade) et parfaitement illustré par le documentaire de Jean-Christophe Klotz visible sur Télérama ci-dessous.
On a envie de dire à ce médiocre lobby politico militaire : taisez-vous et cessez d'enfoncer la France dans vos erreurs, vos fautes, et de la prendre en otage. Mais ils sont tellement que cela ne sert à rien. Pensez au terme utilisé par Robert Badinter contre les négationnistes de la Shoah dans une émission d'Elise Lucet cette semaine. Ils resteront dans leur bêtise et continueront de bredouiller face aux documents qu'on leur met sous le nez.
E.C. 27 avril 2019
Télérama - 20 avril 2019
Un excellent documentaire de Jean-Christophe Klotz qui fut lui-même blessé, par balle, par des génocidaires lors
d'une attaque d'une église, peu après que Mitterrand lance un nouveau "plus jamais çà" à Oradour sur Glane ... De nombreux décideurs français et
internationaux sont interviewés et des documents écrits sont remarquablement articulés.
(vidéo complète à la fin de l'article de Télérama - vu aussi sur France 3 le 25 avril à 23h30).
L'Express - 25 avril 2019
La Libre Belgique - 17 avril 2019
Un article qui remet les pendules à l'heure sur les réalités de l'histoire rwandaise au Kivu.
La dépêche - 17 avril 2019
L'incohérence hypothétique et tergiversante de l'attitude française sur son action au Rwanda fragilise sa position face au négationnisme Turque. Depuis plusieurs années des organes de communication turques utilisent le refus de la France de reconnaître ses responsabilités dans le génocide des Tutsi pour justifier son négationnisme du génocide des Arméniens.
Le Monde - 16 avril 2019
Autoriser l'accès des sources secrètes, cela signifierait que la séparation des pouvoirs est respectée. Car l'exécutif a accès à toutes les sources judiciaires et législatives. La raison devrait être que le judiciaire et le législatif aient accès à toutes les sources secrètes de l'exécutif.
France info - 15 avril 2019
La haute administration française et les entreprises d'armement continuent de dicter leur loi aux politiques qui nous racontent des histoires. Ils n'ont rien appris du Rwanda. De plus ils renforcent bêtement, si on en avait besoin !, toutes les suspicions que nous avons sur la France au Rwanda.
La LIbre Belgique Afrique - 9 avril 2019
Le Monde - 8 avril 2019
"Après avoir raconté avec émotion comment il avait survécu aux miliciens Interhamwe en 1994, le Rwandais Alain Ngirinshunti a
exposé, au parc de Choisy [...], où étaient organisées une partie des commémorations parisiennes du génocide des Tutsi, [...], les motifs qui
avaient été invoqués en 2017 pour justifier son refus d’octroi de la nationalité française.
Agé de 40 ans, le vice-président d’Ibuka, l’organisation qui chapeaute les associations de victimes du génocide, a lu la lettre qui lui avait été
adressée par les services de l’immigration :« Vous exercez des responsabilités associatives importantes au sein d’Ibuka France qui sert de
relais aux services de renseignement rwandais… Par conséquent, eu égard à votre manque de loyalisme envers la France et ses institutions, il ne
m’apparaît pas opportun de vous accorder la faveur d’une naturalisation. »
Scandaleux exemple du négationnisme français, de propagande rageuse, militant au sein de nos institutions, qui pourrit la vie des gens. J'espère que le ministre présent transmettra aux personnes qui doivent prendre des décisions concernant le personnel des services de l'immigration et que cette ignominie sera réparée, dans sa source et dans ses conséquences.
E.C. 9 avril 2019
France Inter - 8 avril 2019
Blog EC - 8 avril 2019
Nouvel Obs - 7 avril 2019
Mediapart - 6 avril 2019
What's up doc - 5 avril 2019
Le Monde - 5 avril 2019
Afrikarabia - 5 avril 2019
Elysée - 5 avril 2019
"Dans le contexte de la 25e commémoration du génocide contre les Tutsi au Rwanda, le Président de la République a reçu ce jour des rescapés du génocide et des membres de l’association Ibuka (« Souviens-toi »). Il leur a témoigné de sa profonde solidarité dans ce moment de deuil et de recueillement en mémoire des victimes d’une des pires atrocités du XXe siècle. Il a rendu hommage à la force de leur témoignage et à leurs efforts pour transmettre aux jeunes générations la mémoire du génocide des Tutsi."
Le Monde - 4 avril 2019
Nous attendons beaucoup de rigueur des travaux de cette commission. Beaucoup de choses sont déjà connues. Trouvera-t-elle des "pépites" dans les archives françaises qui permettront de remettre en cause les versions issues des choses que nous connaissons ?
De toute façon cette commission permettra, nous l'espérons, de mieux cerner les responsabilités des uns et des autres dans cette implication française dans le génocide des Tutsi, dont nous pensons en l'état actuel de nos connaissances, qu'elles relèvent de la complicité dans ce génocide.
La mission parlementaire française avait fait un travail de débroussaillage, plus ou moins réussi selon les aspects. Les députés en réalité n'ont pas pris le temps nécessaire qu'ils auraient du y consacrer, mais en mettant entre parenthèse leurs obligations de député. Cela pose clairement les limites de l'exercice parlementaire. A lui seul Jacques Morel a fait beaucoup plus qu'eux, mais en réalité chacun s'est nourri des travaux des uns et des autres. Morel a aussi beaucoup étudié les travaux des parlementaires rwandais, français et belges, entre autres et par exemple.
Nous regrettons toutefois le geste pusillanime d'avoir écarté du noyau dur de cette commission les historiens Stéphane Audouin-Rouzeau et Hélène Dumas. Pour Stephane Audouin-Roueau ce serait parce qu'il avait déjà perçu et exprimé des errements politico-militaires de cette implication française et probablement à notre avis aussi, pris des positions fermes vis-à-vis d'Hubert Védrine. Nous affirmons ici qu'ils ont eu seulement tort d'avoir eu raison avant les travaux de cette commission officielle, en travaillant sur une base de connaissances que tous les Français peuvent déjà connaître, ce site en est un des reflets, mais qu'ils ont certainement auscultée avec leur maîtrise professionnelle.
Enfin, cette commission sera très probablement utilisée à des fins politiques pour relativiser temporairement un débat qui continue. Cela ne sera pas de sa faute, mais de celle de ceux qui en feront cet usage abusif et dont je vois déjà pointer le bout de leur nez, les pétales d'une rose fanée ou la visière de leur képi.
E.C. 5 avril 2019
On trouvera la liste des membres de cette commission en fin de l'article de Jeune Afrique :
Jeune Afrique - 5 avril 2019
Les membres de la commission selon Jeune Afrique :
Vincent Duclert, inspecteur général de l’éducation nationale, directeur (en congé) du CESPRA (CNRS-EHESS), professeur associé à
Sciences Po
Julie D’Andurain, professeure des universités en histoire contemporaine à l’université de Metz, spécialiste d’histoire militaire
contemporaine
Isabelle Ernot, professeures détachée, docteure en histoire contemporaine, spécialiste de la Shoah, membre de la Mission d’études
en France sur la recherche et l’enseignement des génocides et des crimes de masse
Sylvie Humbert, professeures des universités catholiques, Faculté de droit, C3RD, Université catholique de Lille, spécialiste de
la justice pénale internationale
Raymond H. Kevorkian, directeur de recherche émérite à l’Université de Paris 8, spécialiste du génocide des Arméniens, membre de
la Mission d’étude en France sur la recherche et l’enseignement des génocides des crimes de masse
Erik Langlinay, professeur agrégé d’histoire et docteur en histoire contemporaine, spécialiste des organisations
Françoise Thebaud, professeurs émérite des universités en en histoire contemporaine à l’Université d’Avignon, spécialiste de la
Grande Guerre, des femmes et du genre
Christian Vigouroux, président de section au Conseil d’État
Annette Wieviorka, directrice de recherche émérite au CNRS, spécialiste de la Shoah, membre du Conseil supérieur des archives et du
Conseil d’administration de la Fondation pour la mémoire de la Shoah.
TV5 Monde - 5 avril 2019
Le Monde Tribune de Guillaume Ancel - 5 avril 2019
Tribune accessible aussi sous ce lien
France 24 - 4 avril 2019
CPCR - 4 avril 2019
"Le CPCR ne peut que se réjouir d’une telle décision tout en continuant à déplorer les lenteurs de la justice. Nous ne savons
évidemment pas quand pourra se tenir ce nouveau procès aux assises de Paris.
Deux autres personnes mises en examen et déférées devant la cour d’assises ont fait appel de l’ordonnance des juges: il s’agit de Laurent
BUCYIBARUTA, ancien préfet de Gikongoro et résidant à Saint-André-les-Vergers, dans l’Aube (plainte de 2000) et le docteur Sosthène MUNYEMANA,
médecin à Villeneuve sur Lot (plainte de 1995). Deux exemples qui illustrent, si besoin en était, les lenteurs de la justice française."
Survie - 4 avril 2019
Afrikarabia - 4 avril 2019
Comment douter dès lors des raisons pour lesquelles Victoire Ingabire était emprisonnée au Rwanda ? L'opposition rwandaise restera en échec tant qu'elle ne se démarquera pas nettement de l'idéologie génocidaire. Cela fait partie de la lutte contre le génocide. La plus grande fermeté est nécessaire sur ce plan.
L'habileté de ces oppositions liées à l'idéologie génocidaire est de faire croire, et elles y réussissent très bien, aux ONG telles qu'Amnesty international, HRW, Reporters sans frontières, et autres, qu'elles seraient victimes d'une dictature qui les étouffe. Il faut vraiment aller plus loin que le simple fait qu'une personne est emprisonnée. Il faut enquêter et comprendre pourquoi elle l'est avant de dire n'importe quoi.
Afrikarabia - 4 avril 2019
Mediapart blog EC - 4 avril 2019
Mediapart Blog de Jean-François Matteudi - 3 avril 2019
Un très long texte remarquable, très bien écrit et d'une grande authenticité qui aide à comprendre ce "petit pays".
Libération - 2 avril 2019
Afrikarabia - 2 avril 2019
La formation de la gendarmerie rwandaise par la France à partir de l'accord de coopération de 1975 (effective semble-t-il à partir de 1983 par la "mise sur pied" annoncée d'un "groupement de gendarmerie" selon une note d'un conseiller de Mitterrand de 1982) n'a absolument rien changé. Non seulement les assassinats ponctuels et massacres de Tutsi demeurèrent impunis de 1959 à 1994, mais la gendarmerie et l'armée rwandaises furent les deux bras armés du génocide, avec des armes livrées par la France avant, pendant et même après le génocide. L'ambassadeur de France parlait de "rumeurs" à propos des massacres de Tutsi exécutés entre 1990 et 1993. Hubert Védrine essaya de faire croire en 2014 aux députés français (très crédules) que les armes livrées par la France n'auraient pas servi au génocide des Tutsi.