ZHS - Turquoise - Bisesero - Black Earth Rising - Védrine - France Culture - académie des sciences - Ghislain de MARSILY - DGSE - perquisition à Mediapart
18 mai 2017
Assemblée nationale française
Ancien chef d'état-major adjoint des FAR, "Forces Armées Rwandaises" dans la région de Cambrai à Escaudoeuvres.
Le Rwanda demande son extradition.
Page spéciale CEC
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dossier CEC
Jean-Pierre Chrétien - LDH Toulon
EC 8 avril 2014
Affaire, symbolisée par la disparition de Maurice Audin, reconnue officiellement par le Président de la République Emmanuel Macron. Cette affaire illustre la corruption criminelle exponentielle dont sont capables l'Etat français et son armée,
Une affaire qui illustre les "erreurs d’appréciations" dont sont capables les services d’enquête français et la crédulité des responsables face aux informations qu’ils leur présentent… Si en plus, comme dans le cas de l’implication française dans le génocide des Tutsi au Rwanda, ce sont ceux qui sont mis en cause qui fournissent les informations… C’est un gouffre de dérives assuré.
RTRBF - 7 avril 2018
Depuis son origine ce site est tenu par Emmanuel Cattier, de façon entièrement bénévole à la demande initiale de la CEC. Les articles sont présentés et commentés pendant ses temps libres. Une fois fait, ce travail est aussitôt publié et peut être modifiés les jours suivants, notamment quand E.C. se relit encore ou que des membres du réseau de la CEC lui suggèrent des modifications souhaitables. C'est la conséquence d'une activité non professionnelle, qui permet de répondre assez vite à l'actualité en acceptant que des erreurs soient réparées le plus vite possible. Vous pouvez bien sûr faire des suggestions sur notre page contact.
Ne pas subir - 31 mars 2019
Le journal du dimanche - 30 mars 2019
La Croix - 29 mars 2019
France Culture Du 1er au 7 avril sur France Culture - 28 mars 2019
Carton rouge à France Culture pour l'expression "Génocide rwandais".
Mediapart - 24 mars 2019
blog EC/ Mediapart - 23 mars 2019
Jeune Afrique - 22 mars 2019
"Plusieurs raisons justifient le choix d’Hervé Berville, jeune député de 29 ans. Orphelin d’origine rwandaise, né à Kigali, il a été adopté en 1994, à l’âge de 4 ans, par une famille bretonne qui comptait déjà quatre enfants. « Il est proche du président. Le choisir lui, plutôt qu’un ministre, permet aussi d’envoyer un signal nouveau », glisse-t-on à l’Élysée."
Tâche très difficile pour ce jeune député. S'il va trop loin aux yeux des Védrine-Lanxade, il sera accusé, à mots couverts pour ne pas paraître raciste, de céder à ses origines. Les ténors du négationnisme français ressortiront l'idéologie fantasque du "grand éléphant Tutsi". S'il est trop timoré, etc ...
Mais il est clair que la résolution du passif Franco-Rwandais n'avancera plus avec un président de la République qui se laisse encore bloquer par les éléphants de la ("présomption !") de complicité française dans le génocide des Tutsi.
E.C. 22 mars 2019
Le Monde- 21 mars 2019
E.C; Blog mediapart - 28 mars 2019
Dans ce débat, nous devons surtout saluer le très grand courage de ce lieutenant-colonel qui a réussi à travers son long combat, d'abord timide voire étouffé, puis de façon de plus en plus engagée, jusqu'à ce débat, à initier une première en France : obliger un chef d'état-major à s'expliquer devant des Français. Beaucoup reste à faire concernant la reconnaissance de l'implication de la France dans le génocide des Tutsi, mais une page de l'armée française vient d'être tournée.
PSIA Rwanda - Sciences Po 2019 from Pôle Audiovisuel Sciences Po on Vimeo.
Le Monde - 21 mars 2019
Afrikarabia Jean-François Dupaquier - 21 mars 2019
"Lors d’un colloque à Sciences-Po, l’ancien chef d’état-major s’est fait le porte-parole de l’Élysée qui, a-t-il fait comprendre, renoncerait à déclassifier les documents secrets sur l’implication de Paris dans le génocide des Tutsi du Rwanda en 1994. Peu après l’Elysée faisait savoir que Emmanuel Macron ne se rendrait pas à Kigali pour la XXVe Commémoration. "
La vérité sur l'implication de la France dans le génocide des Tutsi semble très dure à assumer pour ceux qui arrivent à l'Elysée. Si j'en crois Jean-François Dupaquier, Emmanuel Macron a calé devant la crise politique supplémentaire que cela aurait immanquablement provoqué. Les militaires et Hubert Védrine ont gagné cette bataille.
Ce qui est caché doit être explosif pour qu'on s’arc-boute tant à le cacher.
Emmanuel Macron ne disait-il pas pendant sa campagne qu'en France on a un problème avec la vérité ? La démocratie française n'est pas à la hauteur de ses prétentions. Elle n'est plus "En marche". Emmanuel Macron sortira-t-il la tête haute de ce marasme ?
E.C. 21 mars 2019
Science Po Paris - mars 2019
Un débat qui mettra en présence un lieutenant-colonel ayant participé à l'opération Turquoise au Rwanda en 1994 et le chef d'état-major des armées de l'époque. Guillaume Ancel conteste vigoureusement la version officielle française sur l'opération Turquoise soutenue par l'amiral Lanxade.
Réservé aux étudiants de Science Po - s'inscrire sur le site de Science Po
Mercredi 20 mars 2019 17h30 à 19h00
Amphithéâtre Jacques Chapsal - 27 rue Saint-Guillaume 75007 Paris
Organisé par École des affaires internationales / École des affaires publiques de Sciences Po
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France diplomatie - 18 mars 2019
Guillaume Ancel nous signale une communication du quai d'Orsay à propos du Rwanda, issue d'un point de presse. A cette occasion on peut remarquer que l'accord pour la formation de la gendarmerie de 1975, passé entre la France et le Rwanda a disparu de la liste des accords, alors que les accords précédents demeurent.
Ne pas subir Blog de Guillaume Ancel - 19 mars 2019
France génocide Tutsi - 17 mars 2019
Cette base de données publie 8000 documents relatifs au génocide des Tutsi et à l'implication de la France dans le génocide des Tutsi. On y trouve aussi en téléchargement pdf les 1580 pages du livre de Jacques Morel La France au cœur du génocide des Tutsi.
Parmi les documents on trouve cette synthèse de Jacques Morel sur le début de l'opération Turquoise tel que relaté par les journaux télévisés :
Jeune Afrique - 15 mars 2019
"Ce qui qualifie aujourd’hui, selon moi, un discours révisionniste ou négationniste, c’est la minoration radicale de l’ampleur du racisme anti-Tutsi au Rwanda avant le génocide. Autrement dit, lorsque l’enchaînement des faits est expliqué par la seule offensive du FPR en octobre 1990 ou par l’attentat contre l’avion du président Juvénal Habyarimana le 6 avril 1994, occultant la construction, pendant les décennies qui précèdent, d’un “ennemi tutsi”."
Florent Piton
France Inter et Mediapart - 14 mars 2019
Un témoignage exceptionnel et courageux du général Varret qui était chef de la mission militaire de coopération au ministère français de la défense entre 1990 et 1993. Le général dénonce un lobby militaire qui n'a pas pris au sérieux le risque de génocide des Tutsi au Rwanda, malgré les informations qu'il a fait remonter.
Boursorama - 12 mars 2019
Une réponse très froide et sobre, qui laisse deviner une grande appréhension.
Le Président de la République sait qu'il est au pied du mur des pressions politiques et militaires françaises, des alluvions du régime Habyarimana d'une part et des attentes légitimes des rescapés du génocide des Tutsi et de leurs soutiens, des responsables politiques du Rwanda d'autre part. Cette appréhension montre qu'il a une vive conscience de la crédibilité de son message et de son attitude dans ce traumatisme franco-rwandais.
Ce traumatisme est né de "l'implication-imbrication" politique, diplomatique et militaire de la France dans les événements du Rwanda à partir de 1973, puis surtout à partir de 1990 pendant la période de préparation opérationnelle du génocide en marge d'une guerre civile, son exécution, et ensuite la fuite de ses auteurs au Zaïre/RDCongo. Enfin la période post-génocidaire fut particulièrement lourde entre les deux pays, notamment avec le bridage temporel du Tribunal pénal international pour le Rwanda, les errements de l'affaire Bruguière et la mauvaise foi hallucinante et tenace d'une poignée de politiques et militaires français, soutenus par des alluvions du régime génocidaire, qui enfoncent la France avec eux pour protéger leur idée de leur action.
La France a tout à gagner d'une authentique parole de vérité au Rwanda.
E.C. 14 mars 2019
Le Monde - 12 mars 2019
Voilà une enquête sur un sujet rarement abordé, le financement du génocide, qui ramène à la surface l'excellente enquête de Pierre Galand et de Michel Chossudovsky, à laquelle nous avions consacré une demi-journée en entendant précisément Pierre Galand le 24 mars 2004.
Le Monde - 13 mars 2019
Petrus Willem Ehlers : Voir notre rapport en ligne ou Editions karthala pages 128-130, 132, 181-182
Le Monde - 14 mars 2019
Ne pas subir - 9 mars 2019
Jeune Afrique - 7 mars 2019
L’Élysée n'a pas encore donné la réponse du Président.
Espace : le Rwanda envoie son premier satellite pour raccorder les écoles à Internet
TV5 Monde- 3 mars 2019
Un satellite rwandais, construit à Toulouse (France) pour le compte d'un partenaire américain, OneWeb, en relation avec l'européen Airbus, et envoyé dans l'espace par un lanceur russe Soyouz, depuis la base française de Kourou (Guyanne- Amérique du sud)... De quoi envoyer au piquet les Cassandres qui disent que le monde est en guerre. Hélas le monde c'est mister Hyde et Docteur Jeckyll !
CPCR - 3 mars 2019
Un ex-gendarme extradé du Cameroun et incarcéré en France
Jeune Afrique - 3 mars 2019
La formation de la gendarmerie rwandaise par la France à partir de l'accord de coopération de 1975 (effective semble-t-il à partir de 1983 par la "mise sur pied" annoncée d'un "groupement de gendarmerie" selon une note d'un conseiller de Mitterrand de 1982) n'a absolument rien changé. Non seulement les assassinats ponctuels et massacres de Tutsi demeurèrent impunis de 1959 à 1994, mais la gendarmerie et l'armée rwandaises furent les deux bras armés du génocide, avec des armes livrées par la France avant, pendant et même après le génocide. L'ambassadeur de France parlait de "rumeurs" à propos des massacres de Tutsi exécutés entre 1990 et 1993. Hubert Védrine essaya de faire croire en 2014 aux députés français (très crédules) que les armes livrées par la France n'auraient pas servi au génocide des Tutsi.