Bisesero-
Bernard Ntuyahaga - Casques bleus belges
Révisionnisme - Justice attentat du 6 avril 1994 -
Hubert Védrine - Khmers rouges - Général Varret -
Donald Kaberuka
18 mai 2017
Assemblée nationale française
Ancien chef d'état-major adjoint des FAR, "Forces Armées Rwandaises" dans la région de Cambrai à Escaudoeuvres.
Le Rwanda demande son extradition.
Page spéciale CEC
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dossier CEC
Jean-Pierre Chrétien - LDH Toulon
EC 8 avril 2014
Affaire, symbolisée par la disparition de Maurice Audin, reconnue officiellement par le Président de la République Emmanuel Macron. Cette affaire illustre la corruption criminelle exponentielle dont sont capables l'Etat français et son armée,
Une affaire qui illustre les "erreurs d’appréciations" dont sont capables les services d’enquête français et la crédulité des responsables face aux informations qu’ils leur présentent… Si en plus, comme dans le cas de l’implication française dans le génocide des Tutsi au Rwanda, ce sont ceux qui sont mis en cause qui fournissent les informations… C’est un gouffre de dérives assuré.
RTRBF - 7 avril 2018
Depuis son origine ce site est tenu par Emmanuel Cattier, de façon entièrement bénévole à la demande initiale de la CEC. Les articles sont présentés et commentés pendant ses temps libres. Une fois fait, ce travail est aussitôt publié et peut être modifiés les jours suivants, notamment quand E.C. se relit encore ou que des membres du réseau de la CEC lui suggèrent des modifications souhaitables. C'est la conséquence d'une activité non professionnelle, qui permet de répondre assez vite à l'actualité en acceptant que des erreurs soient réparées le plus vite possible. Vous pouvez bien sûr faire des suggestions sur notre page contact.
Jeune Afrique - 24 décembre 2018
Il est clair que si la justice française reconnaît que les inculpations du juge Bruguière étaient sans fondement sérieux, elle ne veut visiblement pas savoir qui sont les véritables auteurs de cet attentat.
Cet article de France Info du 20 décembre (voir sous le
tableau) repose sur une enquête de l'IFOP pour la fondation Jean-Jaurès,
qui nous apprends que le génocide des Tutsi du Rwanda est le plus
mal connu des principaux génocides du XX ème siècle par
les Français. Pourtant c'est le plus récent. Mais c'est,
implicitement, sur le manque de connaissance du génocide des Juifs
que l'on titre alors que c'est le mieux connu par les Français :
Un Français sur dix dit n'avoir jamais entendu parler de la Shoah,
selon un sondage
L'enquête elle-même est intitulée : L'Europe et les génocides : le cas français
Le titre de cet article est-il neutre et objectif ? Pas plus que le contenu de l'enquête qui, malgré son titre, s'intéresse surtout à la Shoah. Il y aurait beaucoup plus a enquêter sur le cas français et le génocide des Tutsi. Mais la fondation Jean Jaurès n'est visiblement pas intéressée par ce "cas". Elle l'a déjà montré.
Ceci dit le contenu de l'enquête est intéressant sous l'angle de la Shoah.
Copie d'écran de l'enquête de l'IFOP pour la fondation Jean-Jaurès
France Info - 20 décembre 2018
France Inter - 12 décembre 2018
Le Républicain Lorrain - 11 décembre 2018
"Il y a aussi cette scène, troublante, dont a été témoin Gaëtan : « Quelques semaines après les décès, un haut gradé de la gendarmerie a fait signer à mes parents un papier comme quoi ils s’engageaient à ne pas déposer plainte contre l’État français. »"
Lire aussi les commentaires sous chaque photo, on y trouve de bonnes questions.
Tous ces éléments sont à ajouter aux soupçons que l'avion d'Habyarimana aurait été descendu par les tirs d'un commando où se trouvaient peut-être aussi des Français. L'épicentre des vagues successives des-"informations"- sur l'attentat est en France. C'est de là que partent toutes les versions successivement abandonnées par les faits découverts. Cela a un sens.
Ces gendarmes spécialistes des écoutes, assassinés au Rwanda quelques heures après l'attentat, ont très bien pu être descendus par ceux qui ont commis l'attentat. Dans cette affaire tout le monde a le droit de se taire. Sauf Hubert Védrine qui a raconté tout et son contraire sur l'attentat. Il a même dit un jour qu'il était possible que des mercenaires français aient participé à cet attentat (Politis). Mais lui secrétaire général de l'Elysée, à une époque où Mitterrand luttait contre sa maladie, il ne sait rien. C'est du moins ce qu'il dit.
Il faut aussi rappeler que le gros bonnet de l'espionnage français, François de Grossouvre, est mort le lendemain de l'attentat, le 7 avril 1994, à l'Elysée. Selon le château, il se serait suicidé car il aurait été "dépressif". C'est sûrement vrai après un coup de feu !... Il fréquentait un certain Capitaine Barril, qui lui aussi a fait partie des vagues "d'informations" sur l'attentat, et qui écrit dans son livre qu'il a été assassiné. Très sûr de lui ce capitaine dont Paul Quilès, la seule fois que j'ai eu l’opportunité de l'interpeller, m'a dit droit dans les yeux, avec une fixité du regard assez particulière, "Vous savez bien que c'est un clown". J'ai encore son regard en mémoire : il semblait dire : surtout crois-moi car sinon on va à la catastrophe.
E.C.
Génocide
au Rwanda: un médecin rwandais renvoyé aux assises en France
Le Figaro - 7 décembre 2018
Biens
coloniaux belges: une restitution inéluctable
rtbf.be - 4 décembre 2018
Paris Match - 5 décembre 2018
Survie - 3 décembre 2018
La formation de la gendarmerie rwandaise par la France à partir de l'accord de coopération de 1975 (effective semble-t-il à partir de 1983 par la "mise sur pied" annoncée d'un "groupement de gendarmerie" selon une note d'un conseiller de Mitterrand de 1982) n'a absolument rien changé. Non seulement les assassinats ponctuels et massacres de Tutsi demeurèrent impunis de 1959 à 1994, mais la gendarmerie et l'armée rwandaises furent les deux bras armés du génocide, avec des armes vendues par la France avant, pendant et même après le génocide. L'ambassadeur de France parlait de "rumeurs" à propos des massacres de Tutsi exécutés entre 1990 et 1993. Hubert Védrine essaya de faire croire en 2014 aux députés français (très crédules) que les armes vendues par la France n'auraient pas servi au génocide des Tutsi.