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Raffaëlle Maison dans "la Vie des Idées"
Ancien chef d'état-major adjoint des FAR, "Forces Armées Rwandaises" dans la région de Cambrai à Escaudoeuvres.
Le Rwanda demande son extradition.
Page spéciale CEC
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EC 8 avril 2014
France Inter - 28 septembre 2017
Lire aussi : Essai : immersion dans l’esprit d’une rescapée du génocide rwandais
Jeune Afrique - 25 septembre 2017
France – Rwanda : pas de réchauffement prévu, mais…
Jeune Afrique - 27 septembre 2017
info Franceinfo. - 25 septembre 2017
Il aura fallu au moins 13 ans depuis la journée du 24 mars 2004 de la commission d'enquête citoyenne et 21 ans depuis le rapport "L'usage de la dette extérieure du Rwanda (1990-1994) La responsabilité des bailleurs de fonds" par Michel Chossudovsky et Pierre Galand pour que la justice française se mette en branle.
Elle devrait aussi enquêter sur d'autres banques française à ce sujet ....le fera-t-elle ?
Rwanda : le « Que sais-je ? » qui fait basculer l’Histoire
Le Monde - 24 septembre 2017
France – Rwanda : Emmanuel Macron et Paul Kagame se sont entretenus à New York
Jeune Afrique / AFP - 19 septembre 2017
Lettre ouverte au Président Macron Adélaïde Mukantabana- septembre 2017
Un plaidoyer rigoureux pour le respect de ma mémoire des victimes ...
Libération - 17 septembre 2017
A lire absolument !
Le MR [Belgique] veut punir la négation du génocide rwandais
Sud info.be - 17 septembre 2017
Jeune Afrique - 15 septembre 2017
Rwanda: Survie réagit à la décision de la Cour françaiseLa libre Belgique Afrique - 15 septembre 2017
Rwanda: la limitation de l'accès aux archives de l'Elysée jugée constitutionnelle
RFI - 15 septembre 2017
Les mitterrandiens, notamment ceux qui revendiquent leur "affection" pour François Mittterrand, protègent toujours la déraison d'Etat sur le Rwanda.... ils sont 5 sur 9 actifs à siéger. De plus les autres sont probablement culturellement très attachés à ce verrou contre la vérité sur l'Etat. C'est scandaleux.
Ce verrou "constitutionnel" est un chancre de notre démocratie, d'origine incestueuse. Il s'inscrit dans la continuité des "affections" d’État !
En tout état de cause, comme le dit François Graner avec pertinence, cela renforce les soupçons qu'il y aurait des choses à cacher. Mais comme le dit Raffaëlle Maison dans un article dans la revue Esprit de mai 2010, ces archives, celles que nous connaissons, font notamment ressortir le rôle déterminant de Mitterrand dans le soutien militaire et diplomatique au régime génocidaire, l'atmosphère de glissement partial anti-tutsi et de "médiocrité" qu'elles dégagent lorsqu'on les feuillette dans les "reliures" de l'Institut François Mitterrand. Elle n'oublie pas non plus de s'interroger sur ce que l'on a bien voulu montrer en sélectionnant ces archives et sur leurs silences.E.C.
Génocide au Rwanda: «Une partie des archives de la DGSE a été déclassifiée»
RFI - 13 septembre 2017
Génocide des Tutsis au Rwanda : « La demande de pardon des évêques reste incomplète »
Jeune Afrique - 12 septembre 2017
Rwanda: un chercheur interroge les conditions d'accès aux archives de l'Elysée
RFI - 8 septembre 2017
Génocide au Rwanda : Trois dossiers examinés par la chambre du conseil de Bruxelles
Le Libre Belgique - 7 septembre 2017
Rwanda: un homme accusé de génocide bientôt jugé en Suède
AFP/Africatime - 6 septembre 2017
Rwanda : questions sur un champion
Jeune Afrique - 6 septembre 2017
Rwanda : Le Conseil constitutionnel va-t-il ouvrir l’accès à des archives de Mitterrand ?
Survie - 5 septembre 2017
Génocide rwandais : BNP Paribas complice ?
France 24 30 juin 2017
Un débat de juin qu'il est bon de reprendre à la rentrée. Un débat sérieux troublé par un "journaliste" qui prétend dénoncer de fausses informations en essayant au passage de minimiser la fonction d'Hubert Védrine. Pourquoi avoir invité Onana comme contradicteur de service ? On voit en effet Charles Onana tenter de noyer le poisson avec un amusement qu'il ne dissimule même pas notamment au début du débat... vers la fin on sent quand même qu'il se tend face aux arguments qu'il n'a pas pu empêcher de laisser avancer. Plusieurs fois ses interlocuteurs, et même parfois l'animateur, ne peuvent que sourire face à l'inanité de ses interventions.
Face au divertissement amusé de Charles Onana, et probablement souvent agaçant pour eux, Maria Malagardis, Marie-Laure Guislain et François Graner montrent un sérieux et une dignité à la hauteur de leur compétence sur ce dossier en général et sur la plainte contre BNP Parisbas en particulier, sachant rester sur le sujet, contrairement à celui qui joue le "trublion de service". François Graner a même réussi au début à sortir Charles Onana un court instant de son attitude amusée qu'il pensait probablement garder jusqu'à la fin... parce qu'il mettait ce "journaliste" directement en cause comme acteur de désinformation.
Le comportement lamentable de Charles Onana peut se comprendre ainsi : il se sent visiblement "chargé" de défendre l'indéfendable, sans se sentir véritablement impliqué. C'est une attitude qui fait penser à celle d'un mercenaire. Il va jusqu’à tenter de contester le génocide des Tutsi pour défendre l'Etat français et plus particulièrement Hubert Védrine, François Mitterrand et le gouvernement d'Edouard Balladur en l’occurrence, qui furent les responsables du seul Etat au monde à avoir l'outrecuidance de recevoir les membres du gouvernement génocidaire pendant le génocide. Cela peut paraître relativement bénin, une "erreur d'appréciation", mais cela montre en fait à quel point les relations franco-rwandaises continuaient d'être imbriquées, malgré le génocide des Tutsi avéré et en cours, pour prendre un tel risque politique.
Les responsables français sont tombés dans le piège qu'ils ont construit, en agissant comme des Shadoks qui pompaient l'eau devant le bateau et la rejetaient derrière le bateau...
E.C.
Partie 1