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EC 8 avril 2014
Rwanda : affaire Karake, mais quelle mouche a
piqué Londres ?
Jeune Afrique 30 juin 2015
En fait selon Mehdi ba, et on peut lui faire confiance, la décision de Londres n'aurait même plus de justification juridique qui puisse être basée sur la procédure espagnole :
[...]cette arrestation survient six mois après une décision de l’Audiencia Nacional, un haut tribunal situé à Madrid, qui déclarait la justice espagnole incompétente et prononçait un « acquittement définitif » des 40 Rwandais pour les incriminations de génocide, crimes contre l’humanité et crimes de guerre, et une « suspension provisoire » des poursuites pour leur présumée « participation à une organisation terroriste » – le FPR. Les magistrats ordonnaient également « que soient levés les mandats d’arrêt » une fois la décision devenue définitive, après épuisement des recours.
Rwanda : la procédure espagnole contre Karenzi
Karake sur une voie de garage ?
Jeune Afrique 26 juin 2015
La procédure espagnole contre 40 membres du FPR serait en train de suivre la même évolution que celle de Bruguière en France, pour des motifs divers et juridiques, mais surtout pour les mêmes raisons de fond : l'absence de preuves sérieuses. C'est le lot logique des procédures de nature politique sans éléments factuels. Certes ici, à l'origine il s 'agissait d'une enquête légitime sur la mort de 9 espagnols au Rwanda. Mais pour des raisons idéologiques, semble-t-il à cause précisément de l'influence de la procédure française qui a depuis capoté, le juge espagnol est parti vent debout comme un militant sans cervelle en oubliant le fond essentiel : l'enquête factuelle. Ce qui est malheureux autour de cette affaire c'est le comportement incohérent de militants non-violents, dont un prix Nobel de renommée internationale, qui n'ont pas hésité à soutenir une démarche basée sur la mise sous silence du génocide des Tutsi et l'absence manifeste d'intention de l'étudier et de le prendre en compte. C'est moralement impardonnable. E.C.
Le Monde Afrique 24 juin 2015
France Inter 17 juin 2015
Le chef des services de renseignement rwandais arrêté à Londres à la demande de l’Espagne
Libération 23 juin 2015
La clé de ce comportement subit de Londres se trouve très probablement à la fin de l'article de Colette Braeckman dans le Soir :
"Le zèle subit de la justice britannique serait il une réponse au fait que Kigali ait suspendu les émissions de la BBC à la suite de la diffusion d’un reportage controversé sur l’”histoire non dite” du génocide? Faut il y voir un avertissement, à la veille de la décision concernant un éventuel troisième mandat? Même si la justice est, théoriquement, indépendante, l’arrestation d’un “maître espion”‘ n’est pas un procédé fréquent et d’aucuns rappellent le proverbe rwandais “qui veut atteindre le maître frappe d’abord le chien…..” "
La justrice britannique immobilise le légendaire général Karenzi Karake
Le Soir 23 juin 2015
Le chef des services secrets rwandais arrêté
Lal libre Belgique 23 juin 2015
Confusion et négationnisme sur le rôle de la
France au Rwanda
Survie 8 juin 2015
Qu'un ancien secrétaire général de l'ONU en poste au moment des événements,M. Boutros-Ghali, se permette d'enfoncer le clou d'un prétendu double génocide mensongé et d'inverser les faits aussi radicalement, et donc dans le cas du génocide des Tutsi le sens des événements, sans que les journalistes du journal Le Monde et de Radio France Internationale ne tentent de rétablir les faits par leurs questions, est absolument lamentable au premier abord. Mais quand on sait que ce monsieur est aussi suspecté d'avoir été une marionnette des stratèges français au sein de l'ONU, ces propos ne font que confirmer qu'il participerait à une campagne de désinformation en bon soldat, comme son représentant spécial "patron de Dallaire" à l'époque, monsieur Booh-Booh. Le problème c'est que nous n'avons qu'un faisceau d'indices, mais aucune preuve, que cette campagne soit effectivement organisée et en action.
Dans le cas contraire, on doit comprendre l'extraordinaire incompétence et médiocrité de ce monsieur à qui on a confié de telles responsabilités et celles des journalistes qui l’interviewaient. Tout ce monde là est grassement payé pour un résultat informatif qui est un énorme mensonge négationniste. E.C.
Nouvelle plainte pour génocide déposée par le CPCR
CPCR 6 juin 2015
Réponse de M. THUILLIER (France 2) faite au CPCR
CPCR 4 juin 2015
Enfin.... après la période des commémorations. L'historique montre que la plupart des ces dérapages médiatiques ont lieu dans les trois à quatre mois qui précèdent les commémorations du génocide. On peut donc sérieusement se demander s'il ne s'agit pas d'opérations de désinformations orchestrées. Mais bien sûr de telles questions subissent l'ironie générale sur le mode de la psychose de la "théorie du complot". Il serait intéressant de savoir comment les auteurs de ces dérapages en ont eu l'idée. Ils plaident toujours l'erreur... c'est un peu facile et ce ne serait pas crédible de la part du directeur de la rédaction de Paris Match co-dérapeur de cette émission de France 2 et qui lui ne s'est toujours pas expliqué.
Jeune Afrique 2 juin 2015
Voilà une analyse apparemment surprenante qui pourtant ne manque pas de questions pertinentes.