Rwanda : les introuvables révélations de Théogène
Rudasingwa sur l'attentat du 6 avril 1994
Jeune Afrique 26 avril 2013
Curieusement Marianne ne semble
pas avoir publié sur son site internet, ce qui l'aurait été dans
son hebdomadaire, ce témoignage sorti du chapeau qui viendrait
confirmer l'inanité de l'enquête de Bruguière en relançant ....
la thèse de Bruguière. Ca sent la nième ficelle à la
Ruzibiza. Le but est probablement de retarder le travail du
juge.... 15 jours après le film de l'émission belge "Devoir
d'enquête" et la publication du livre de Philippe Brewaeys
(voir ci-dessous).
Rwanda: les menteurs n’étaient pas ceux que l’on
pensait
Colette Braeckman 18 avril 2013
"Brewaeys, qui a un long passé de
chroniqueur judiciaire, s’est attaché, avec méthode et
précision, à relire les travaux de l’auditorat militaire
belge. Il cite en particulier l’enquêteur principal, Guy
Artiges, qui s’était retiré de la circulation et que Catherine
Lorsignol a retrouvé en Grèce. La conclusion d’Artiges (qu’il
nous avait déjà livrée voici 19 ans et qui avait inspiré nos
propres articles) est sans ambages : « c’est manifestement du
côté des Hutu, des FAR (Forces armées rwandaises et du
gouvernement en place qu’il faut rechercher les commanditaires
de l’attentat. Avec une aide qui pouvait venir de l’étranger.
Ma conviction, c’est que la France a joué un rôle. » Et
Artiges de poursuivre : « des renseignements que nous avions,
tout était mené par Mme Habyarimana et son frère Séraphin
Rwabukumba, avec l’aide du colonel Théoneste Bagosora. J’ai eu
des informations, qui n’ont d’ailleurs pas été traités et
vérifiées, concernant une réunion à l’hôtel Diplomate entre
Bagosora, l’archevèque de Kigali et deux autres personnes.
Quand ces gens ont appris que l’attentat avait réussi, ils se
sont rendus à Kanombe pour voir si le président était bien
mort. Ils sont revenus à l’hôtel Diplomate pour fêter cela au
champagne… » "
KIgali accuse la justice internationale de
“trahison” et réclame les archives
Colette Braeckman 16 avril 2013
L'ONU va pouvoir laisser "épurer" les archives par de petites mains
anonymes avant de les donner au Rwanda... On aura des informations
comme quoi certains documents ont disparu... comme c'est déjà arrivé
en France dans des affaires rwandaises. Même les tubes des lances
missile de l'attentat déclencheur du génocide, qui auraient été
trouvés par Barril, ont disparu en France avant qu'ils soient remis
au juge Bruguière... ce qui ne l'a pas empêché de les prendre comme
pièce à conviction. C'est sans doute ce que Pierre Péan considère,
par référence implicite et exemplaire, la franchise et l'honnêteté
de la culture française. E.C.
Revoir
Devoir d'enquête : Rwanda l'enquête Manipulée
RTBF 10 avril 2013 - Dans notre dossier Attentat du 6
avril 1994
Génocide rwandais: la douleur des souvenirs, 19
ans après
Rue 89 8-9 avril 2013
La cour a déclaré nulles les neuf plaintes des
militaires
La Nuit Rwandaise 8 avril 2013
Génocide rwandais : l'enquête du juge Bruguière
sabotée
Jeune Afrique 8 avril 2013
Rwanda: l'enquête manipulée
Nouvel Obs 8 avril 2013
François Hollande et le 19ème anniversaire du
génocide des Tutsi du Rwanda
Survie 29 mars 2013
Alain et Dafroza Gauthier, le couple qui poursuit
les génocidaires du Rwanda
France info 5 avril 2013
Un Rwandais interpellé à Toulouse mis
en examen pour génocide
Le monde 4 avril 2013
Rwanda : L’enquête Bruguière, une imposture
française
Afrikarabia 4 avril 2013
"L’impardonnable" n'est pas le jugement de Dieu,
seulement du président français
EC 3 avril 2013
Pascal Simbikangwa, premier Rwandais renvoyé
devant les assises en France pour «complicité de génocide»
RFI 2 avril 2013
Génocide au Rwanda : vers le premier procès en
France d'un ex-militaire
Metro 2 avril 2013
Le dossier avance micromillimétriquement, juste avant les
commémorations du 19 anniversaire du déclenchement du génocide....
mais c'est une fissure dans la ligne Maginot négationniste
française.
Rwanda : Un agent de la DGSE raconte sa mission
durant le génocide
Akrikarabia 2 avril 2013
Rwanda - P. Brewaeys : "La thèse Bruguière est
définitivement morte et enterrée"
Jeune Afrique 2 avril 2013