Nouvelles France Rwanda

Afrikarabia 12 avril 2012

Le cobaye international 12 avril 2012

Réponse de l'éditeur de Serge Farnel à Kagatama

Le monde 11 avril 2012

Collectif VAN 7 avril 2012

La Nuit Rwandaise 7 avril 2012

Afrique en ligne 7 avril 2012

"Pourquoi les puissances qui s'autoploclament les premiers défenseurs en matière des droits de l'homme n'ont jusqu'ici manifesté aucune volonté pour extrader ou traduire en justice les présumés génocidaires rwandais en quête d'asile sur leur sol'.

'Et pourtant lorsqu'il est question de combattre les actes de terrorisme, ces nations qui s'autoproclament être les plus civilisées se mobilisent jusqu'à demander des renforts de la part des pays africains [...] pourquoi cette mobilisation n'est pas affichée losrqu'il est question du génocide rwandais  ou toute autre question qui concerne les Africains,' s'est offusqué le président Kagame.

Cette politique de deux poids, deux mesures méprise les appréhensions des Rwandais et des Africains qui continuent de réclamer justice', a-t-il martelé dans un discours prononcé en anglais"

Collectif VAN / Ibuka 6 avril 2012

Jambonews 6 avril 2012

Survie 5 avril 2012

Libération Rebond  4 avril 2012

Par JEAN-PIERRE CHRÉTIEN historien, CNRS.
"Le génocide rwandais de 1994 reste souvent caricaturé en termes de «guerre interethnique» entre Hutus et Tutsis, avec des crimes dans les deux «camps». L’éclairage de l’histoire est très différent ..."

Afrikarabia 3 avril 2012

Il n'est évidemment pas très heureux de critiquer une école le jour où la mort de son directeur est annoncée. Mais depuis longtemps nous pointons les orientations étatiques de Sciences Po sur la question du Rwanda. Ce compte-rendu de JF Dupaquier, publié avant l'annonce de la mort de Richard Descoings, ne fait que confirmer cet enfermement de l'élite française dans des œillères médiatiques qui semblent à peine plus pâles que celles des dictatures. Il est en effet stupéfiant de découvrir le contexte de cette conférence décrit par JFD.

Le directeur de science po disparut hier avait sans doute perçu trop tard les ravages de cet enfermement de l'esprit en ouvrant science po à d'autres milieux . "L'élite française" est gravement à la traîne sur beaucoup de point, en particulier à cause de sa très grande partialité due à son fonctionnement interne.

Sur le fond de ce qui fut discuté à Science Po le 28 mars dernier, le basculement brutal des médias sur la question de l'attentat du 6 avril 1994, d'une façon qui semble trouble aux conférenciers de Science po, n'est que le contre-coup de l'énorme manipulation à laquelle se sont livrés ces pyromanes pendant des années sur la base des livres de Onana, Ruzibiza et Péan, des articles de Stephen Smith annonciateurs de l’ordonnance de Bruguière et dont nous avons longuement dénoncé, depuis 10 ans pour certains, les absurdités annoncées. Les médias devaient nous lire en secret et déjà se poser des questions. Le rapport des experts initié par les juges Trévidic et Poux est venu étayer de façon scientifique nos propres critiques de cette version française de l'attentat. Tout ce beau monde fut baladé ou baladeur de façon éhontée et tente aujourd'hui de se justifier face à la rigueur de la démonstration judiciaire.

Le télégramme 3 avril 2012

Site d'Aviso édition

2 avril 2012

• Rwanda, 6 avril 1994. Un attentat français ? de Michel Sitbon
• Françafrique 2012, la bombe à retardement de Bruno Boudiguet
• Rwanda, 13 mai 1994. Un massacre français ? de Serge Farnel
  

"Un attentat français ?" une question qui fait partie de nos hypothèses sérieuses, qui repose sur un faisceau d'indices que nous constatons (cf. notre dossier sur l'attentat) et que Michel Sitbon considère comme quasiment acquise. Dommage que l'intuition ne constitue pas une preuve juridique et qu'elle puisse être soumise au risque de n'être qu'une erreur d’appréciation. Donc attendons les suites de l'enquête des juges français. On peut avoir raison avant tout le monde sans en avoir la preuve...

"Rwanda, 13 mai 1994. Un massacre français ?" Une question, déjà posée sur notre site et dans la Nuit rwandaise N°4, et notamment avec témérité sur sa couverture. Ce jour là, une des plus grandes attaques contre les Tutsi de la région de Kibuye eut lieu à Bisesero et on trouve ça et là des traces d'une présence de militaires français sur les lieux.

Cette question nous trotte dans la tête surtout depuis le retour de Serge Farnel après son enquête et un article élogieux du Wall Street Journal sur son travail. Cette enquête est pourtant controversée dans certains aspects de sa méthode. Mais est-ce suffisant pour évacuer la question ? L'enquête est controversée car, selon ses détracteurs, l'enquêteur aurait été trop directif à certains moments et certains des nombreux témoins auraient fait une confusion de date avec les événements de juin 94 de l’opération Turquoise à Bisesero, voire auraient fait des réponses satisfaisantes pour la thèse de l'enquêteur. Des observateurs de l'enquête se posent donc des questions.

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